lundi 27 février 2017

Les blondes par Emily Schultz

Les blondes - Emily Schultz
Pour la pauvre Hazel Hayes, les choses commencent à mal tourner lorsqu'elle apprend qu'elle est enceinte, une gracieuseté de son professeur d'université, marié et maintenant loin d'elle. Elle vient d'emménager à Manhattan et a de la difficulté à trouver ses repères. Et tout ça à quelques heures de l'apocalypse... 

Des attaques meurtrières, que rien ne semble relier, se multiplient aux quatre coins de la ville. Il faut se rendre à l'évidence : une épidémie frappe les blondes, qu'elles soient hôtesses de l'air, agentes immobilières ou patronnes d'entreprise, et les transforme en tueuses sanguinaires. Cherchant à fuir la ville en proie à la panique, Hazel entreprend la traversée d'une Amérique paralysée par le fléau blond, épopée au cours de laquelle elle trouvera une alliée inattendue. 

Maîtrisant avec une habileté déconcertante l'art du suspense et celui de la satire, Schultz signe avec Les Blondes un roman horriblement drôle et pétillant, truffé de remarques sensibles sur la beauté, la féminité et la maternité.

 Lorsque j'ai commencée ce livre, je m'attendais à un livre très girly. En effet, nous avons le personnage principal, Hazel Hayes, qui est enceinte de son directeur de thèse, qui est, lui, marié. Mais le roman prend une toute autre tournure lorsqu'un virus touchant les blondes fait son apparition. Elles développent des symptômes ressemblant à la rage et se mettent à attaquer tout ce qui les entourent. L'histoire prend alors des allures apocalyptiques.

Les choses se gâtent encore plus pour l'héroïne, qui habite New York, lorsqu'elle tente de se rendre dans sa ville natale, Toronto.  Elle se fait arrêter à la frontière car les gardes frontaliers la soupçonne d'être porteuse du virus puisqu'elle est rousse. Malheureusement pour elle, il y a eu le cas d'une rousse ayant attrapé le virus et les agents ne veulent pas prendre de chances. Elle se retrouve alors au CLIT, un centre de quarantaine pour les blondes. Elle passe donc huit semaines dans une école convertie en centre d'accueil pour blondes, avant d'être libérée. 

Elle tente alors de rejoindre son amie Larissa et réalise qu'elle en a beaucoup sur les épaules. Elle décide alors d'essayer de retrouver Karl, son directeur de thèse, en volant la voiture de son amie et en ce dirigeant vers le chalet du père de son enfant, mais se retrouve plutôt face à face avec la femme de celui-çi.

Habituellement, je n'aime pas les histoires d'apocalypse, de zombies, etc. Mais ce coup-çi, j'ai beaucoup aimée l'histoire de Les blondes car il n'y avait pas ce côté ''survie en forêt et bataille contre les infectés'' que je n'aime pas trop. Je me suis beaucoup attachée à Hazel et à l'enfant qu'elle porte et j'ai adorée détester Grace, la femme de Karl. J'ai dévorée ce roman et je recommande ce livre à ceux qui veulent un bouquin qui les tiendra en haleine pendant près de 500 pages.

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